IWEPS, Working paper n°36
La mise à jour de l’armature urbaine de services et la prise en compte des enjeux prospectifs liés à la mobilité bas carbone/basse énergie semblent des éléments pouvant contribuer au projet de territoire wallon et aux différents projets de territoires infrarégionaux
Les études menées dans le cadre des Programmes de (re)développement durable de quartiers dédiés aux communes les plus sinistrées à la suite des inondations de juillet 2021 sont terminées. Elles comprennent chacune un diagnostic propre à chaque territoire, un schéma stratégique de (re)développement durable et des propositions d’aménagements concertées.
Les inondations de juillet 2021 ont causé des dégâts humains et matériels considérables. En janvier 2022, le Gouvernement a lancé les programmes de (re)développement durable de quartiers (PDDQ) en vue de :
Ces programmes ont visé neuf communes de catégorie 1 (les plus durement sinistrées) de langue française : Chaudfontaine, Esneux, Liège, Limbourg, Pepinster, Rochefort, Theux, Trooz et Verviers.
En résumé, chacune de ces études contient :
Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne, a publié le 12 décembre ses dernières données sur les transports en Europe
EDIWALL – octobre 2022
Le référentiel portant sur les constructions et aménagements en zone inondable, que nous avons pu vous présenter lors de deux journées de formation en ce début décembre, est disponible en téléchargement. Il s’agit d’un outil d’aide indispensable à la conception et à l’évaluation des projets de planification, d’aménagement et de construction en zone inondable dont nous vous conseillons la lecture
Focus de l’IBSA n°55
Le nombre d’entreprises quittant la Région entre 2009 et 2020 est supérieur à celui des entreprises venant s’y installer. Quelle importance accorder à ces départs ? Qui sont ces entreprises qui constituent ce solde négatif ? Quelles communes sont les plus concernées ? Le Focus de l’IBSA se penche plus sur les entreprises qui quittent ou qui s’installent en Région bruxelloise
Géoconfluences – 2 décembre 2022
« Pays en développement », pays du « Nord » et du « Sud »… Les termes utilisés depuis des décennies pour décrire les inégalités de richesse et de développement sont historiquement datés et ne suffisent plus à décrire et analyser de manière efficiente le monde actuel. Cependant malgré tout, Nord(s) / Sud(s) demeure un couple encore très utilisé bien qu’il date de 1980. Pourtant, en 40 ans, que de changements à la surface du globe et dans son architecture mondiale
La remise à plat des outils conceptuels pour penser, représenter et enseigner le développement aujourd’hui et demain nous a donc semblé une impérative nécessité. Ce défi méthodologique et notionnel a représenté près d’un an de travail. Le site Géoconfluences de l’ENS de Lyon vient de mettre en ligne un texte présentant une démarche visant à proposer un nouveau découpage, à la fois opératoire et pouvant prendre en compte les processus récents comme l’émergence
Il débute par une approche épistémologique, consacre une large part aux enjeux méthodologiques pour aboutir à une proposition de carte du monde facilement mobilisable en classe avec les élèves. Cette analyse fait ressortir six types d’États formant trois grands groupes : les États précaires, les États favorisés, et les Etats émergents, ces derniers étant les plus nombreux
Ce travail souligne les nettes et spectaculaires recompositions géographiques de l’architecture mondiale du développement intervenues ces quatre dernières décennies. Elles sont étroitement liées à des trajectoires nationales ou sous-continentales, à la fois sociales, économiques et politiques, qui font système. Ce travail souligne à la fois les considérables progrès globaux accomplis par l’humanité en un laps de temps assez court au regard de la longue durée historique, et les immenses défis à relever à l’avenir pour assurer un développement réellement durable, intégrateur et solidaire